Adresse :
Parc Jacques Brel Forest
Coordonnées GPS :
50.8031 , 4.3229
Inventaire scientifique :

Carte d'identité

Catégorie :
Arbre remarquable
Nom en latin :
Quercus robur
Nom en français :
Chêne pédonculé
Nom en néerlandais :
Zomereik
Nom en anglais :
English/Pedunculate oak
Famille :
Fagaceae
Hauteur :
40 m
Hauteur visée :
Cette espèce peut atteindre 30-35 m
Diamètre de la couronne :
20 m
Circonférence du tronc :
602 cm (2 troncs de 350 cm chacun)
Circonférence espérée :
1000 cm
Longévité espérée :
Peut vivre entre 1000 et 2000 ans
Origine / Indigène :
Du milieu de l’Espagne au Sud de la Scandinavie et de l’Irlande à la Russie
Sol préféré :
Aéré, meuble, frais, fertile, profond, bien drainé
Climat préféré :
Tempéré, frais, craint les gelées

Utilité et services de l'arbre

Embellit le paysage :
+++ effet visuel de la couronne et du tronc
Enrichit la biodiversité :
+++ arbre vétéran qui accueille des plantes, lichens, champignons, insectes et nids d’oiseaux
Fournit de l'oxygène :
+++ couronne gigantesque, surface foliaire très importante
Purifie l'air :
+++ idem
Filtre l'eau :
+ peu d'eau sur la partie haute du parc
Évite les inondations :
+++++++++ idem
Stocke le carbone :
+++ croissance lente, bois durable
Adoucit le climat :
+++ l’effet est plutôt dû à l’ensemble du massif boisé
Limite l'érosion du sol :
+++ fixe le talus du chemin de fer
Fait du bien, guérit :
+++ bois d’œuvre, tanins, glands
Collection de l'Etat fédéral belge en prêt permanent au Jardin botanique de Meise: Chaumeton, Flore médicale, pl. 114, 1829

Traits et caractères de l'individu

Cet individu s’appelle le « Chêne Double » à cause de ses deux énormes troncs jumeaux. Ils s’élancent bien droits en quête de lumière. Leur hauteur et leur taille est impressionnante. Pourtant, cet arbre est moins connu que le Chêne Joséphine, son voisin, le vétéran de la Région, admiré de tous. Le « Chêne Double » vit plus discrètement dans le bois, tout près d’un étrange pavillon désaffecté, au bord de la voie ferrée. Ses racines puissantes partent dans toutes les directions. Elles rejoignent sans doute celles de son ainé. Les branches des deux plus gros chênes de la Région se frôlent sans se toucher. Comme par respect ou par pudeur. Ils communiquent par les airs et par le sous-sol forestier. Mais leurs messages nous échappent.